Boris Douarre est un entrepreneur à l’origine de la création de la start-up CoachGuitar qui propose l’apprentissage de la guitare par l’exemple.
Parcours
Boris Douarre a commencé par pratiquer le football à haut niveau au PSG, avant de bifurquer vers le monde de l’internet, dont il a pressenti l’incroyable potentiel très rapidement. Il est ainsi devenu Directeur Grand Comptes au sein d’une entreprise digital. C’est au cours d’un voyage professionnel à l’étranger qu’il a compris le potentiel de l’apprentissage visuel, et a eu l’intuition qu’il tenait là une méthode d’apprentissage qui pourrait s’appliquer à sa passion pour la guitare. C’est ainsi qu’est née l’idée de CoachGuitar.
Boris Douarre a donc ainsi créé dans la foulée CoachGuitar avec deux associés. Cette application permet à tout un chacun d’apprendre à jouer des morceaux de guitare simplement en mimant ce qu’il voit. Nul besoin besoin d’un long apprentissage préalable du solfège. L’efficacité de la mémoire visuelle en fait une méthode d’apprentissage très pertinente : l’acquisition de la technique de jeu est grandement facilitée par cette démarche originale, et la faible présence des textes au sein de l’application (ils sont uniquement présents dans les interfaces) a permis de traduire Coach Guitar en pas moins de onze longues, ce qui démultiplie d’autant son potentiel public.
La prometteuse startup CoachGuitar est ainsi rapidement devenue une référence en matière d’e-learning musical, sa démarche originale lui apportant un véritable plus par rapport aux apprentissages vidéos classiques, qui ne permettent aucune interactivité et laissent l’apprenti guitariste vite désemparé ! Le développement de nouveaux morceaux musicaux, coûteux puisque chacun doit être préalablement filmé et monté pour être adapté à l’interface visuelle de la méthode de guitare CoachGuitar, a conduit Boris Douarre a faire appel au crowfunding (financement participatif) pour trouver les fonds nécessaire au développement de la pépite parisienne : l’originalité du concept comme le charisme de Boris Douarre ont permis de récolter les fonds nécessaires à la poursuite du développement de cette start up bien de chez nous, mais dont le concept n’a pas d’équivalent même au sein de la Silicon Valley.