Né le 9 août 1941 à Marseille, Roland Povinelli est un homme politique du paysage français.
Alors qu’il n’était encore que carde administratif de Caisses d’Épargne, il fut élu au poste de conseiller municipal d’Allauch le 17 septembre 1972. Le 5 octobre 1975, suite à une élection partielle, il est élu maire de la commune d’Allauch, succédant ainsi à Jacques Gaillard. Poste qu’il occupe toujours jusqu’à nos jours. Son poste de maire ne l’a pas empêché de se diversifier dans le paysage politique français.
En 1998 par exemple, Roland Povinelli occupe le poste de député suppléant d’Yves Vidal et de Bernard Tapie en 1993. De 1992 à 2008, il occupe le poste de conseiller général du canton d’Allauch et à partir de 1998, celui de vice-président du conseil général des Bouches-du-Rhône. En décembre 2008, il démissionne suite à son élection au Sénat.
Depuis 2001, il occupe le poste de vice-président de la Communauté urbaine Marseille Provence Métropole. Membre du groupe socialiste et appartenant jusqu’au 30 septembre 2014 à la commission des affaires étrangères et de la défense, Roland Povinelli est classé parmi les 10 parlementaires les moins actifs du Sénat. Durant son mandat au palais Bourbon, il a été le signataire de près de 90 propositions de loi. Il a également été l’auteur d’une dizaine de résolutions ou de propositions de loi relatives au renforcement des compétences des maires d’arrondissements et autres. Il est aussi à l’origine de près de 80 questions écrites. Lors des élections sénatoriales de 2014, la liste sur laquelle son nom figure n’obtient pas assez de voix pour lui permettre de conserver son poste de sénateur.
Depuis 2001, il occupe le poste de vice-président de la Communauté urbaine Marseille Provence Métropole. Membre du groupe socialiste et appartenant jusqu’au 30 septembre 2014 à la commission des affaires étrangères et de la défense, Roland Povinelli est classé parmi les 10 parlementaires les moins actifs du Sénat. Durant son mandat au palais Bourbon, il a été le signataire de près de 90 propositions de loi. Il a également été l’auteur d’une dizaine de résolutions ou de propositions de loi relatives au renforcement des compétences des maires d’arrondissements et autres. Il est aussi à l’origine de près de 80 questions écrites. Lors des élections sénatoriales de 2014, la liste sur laquelle son nom figure n’obtient pas assez de voix pour lui permettre de conserver son poste de sénateur.